Dominique GINIAUX
Dominique Giniaux est né en 1944 et décédé en 2004 en région parisienne. Vétérinaire et précurseur de l’ostéopathie animale, il a toujours dessiné et sculpté en taille directe. Cette sculpture est la pièce majeure de toutes ses sculptures, l’aboutissement de ses recherches des volumes. De l’original travaillé dans une pierre de Saint-Maximin, le bronze s’est imposé et place l’auteur sur un plan particulier: Artiste d’une seule sculpture. D’autres sculptures en bois ou en pierre ne sont jamais présentées et restent en collection privée. (son site: https://dominiqueginiaux.net/)
Magdalena REINHAREZ
Originaire d’Europe Centrale, née en 1925, Magdalena Reinharez arrive très jeune en France. Peintre, elle suit l’enseignement de grands maîtres, particulièrement Fernand Léger et André Lothe. Cette expérience va lui permettre de former son regard à la composition, au volume et aux formes. Ses travaux de peinture et de dessin la guident peu à peu vers la sculpture. Elle était fascinée par le mouvement. Un séjour à Grenade lui a révélé la tauromachie, qu’elle a déclinée à sa manière. Les animaux l’ont souvent inspirée, surtout les chevaux et certains animaux d’Afrique. Tout est dans l’interprétation de ce qu’elle ressent. Plus que l’animal lui même, elle travaille sur son image qui, selon elle, s’en dégage et s’impose par suggestions. Son modelage est très personnalisé. Durant les dernières années de sa vie, elle s’est consacrée essentiellement à la sculpture, et de nombreux bronzes sont encore disponibles.
Décédée en 2012, à l’âge de 87 ans, elle a toujours exposé son travail dans de nombreuses galeries, depuis 1955. B.G.
Pascale BOUCHOLZER
Née en 1970 en région parisienne. Elle a toujours dit : « Si les chevaux n’existaient pas, je pense que je n’aurais jamais touché un crayon, un pinceau, ni même la terre »
Artiste autodidacte, elle a reçu son premier prix à Saumur en 2000 pour l’œuvre graphique. Elle est passée de la peinture à la sculpture en choisissant le plâtre et le papier froissé avant de travailler la terre. Ses chevaux en terre, petits ou grands, iront tous vers la fonderie : « Forts et fragiles, calmes mais vibrants, ils cheminent depuis l’aube des temps. Nul besoin de mors, nul besoin de mots, unis dans la poursuite des idéaux, ils vont. »
Pascale Boucholzer a cessé de travailler dans son atelier en 2011, et dix ans plus tard elle y est retournée !… Ses anges enchantent la galerie !